Chaque membre de la fédération est un passionné du jeu vidéo.

L'adhésion est possible à tout individu souhaitant accompagner la FFJV dans ses actions. Nous recherchons des membres motivés et passionnés afin de permettre au jeu vidéo Français de trouver ses lettres de noblesses qu'il mérite depuis de nombreuses années. 

C'est en septembre 2020 que la FFJV prend un vrai tournant, en s'alliant avec la start-up Yapla pour la digitalisation de la fédération.

Grâce à ces nouveaux processus et à un administratif stable, la FFJV peut enfin avoir accès aux systèmes numériques lui permettant de mener ses actions à bien. 
Une vaste campagne de prévention aux addictions liées au jeu vidéo est prévu pour 2021 ainsi qu'une campagne visant à l'inclusion des personnes déficientes, réalisée en partenariat avec l'APF France-Handicap. 

Une première nouveauté nait en 2018 lorsque la FFJV décide de mettre en place, pour la première fois en France, un système de référent. 

Discéminés partout, dans leurs régions respectives, les référents ont pour objectifs de recenser le tissus associatif lié au jeu vidéo ainsi que tous les acteurs oeuvrant de près ou de loin dans le jeu vidéo local. En devenant les yeux et les oreilles de la FFJV, ces référents sont également les portes paroles de la FFJV auprès des collectivités locales et des différents élus pour promouvoir le jeu vidéo. 

Créée en 2013, la Fédération Française de Jeu Vidéo fédère tous les acteurs qui le souhaitent afin de démocratiser, mettre en avant et encadrer les filières amateures des jeux vidéo et de l'e-sport français.

De 2013 à 2016 la FFJV n'a cessé d'aider au développement associatif de notre pays. A cette époque, la FFJV aidait les associations qui encadraient des compétiteurs, mais aussi avec un pôle techniques, les associations qui organisaient des évènements autour des jeux vidéo et leurs compétitions.

Fin 2016 à début 2018, pendant prés de 18 mois, suite à la création de l'association "France-Esport", le Comité Directeur a décidé de mettre en sommeil la FFJV afin de laisser l'opportunité à cette nouvelle entité de fédérer l'ensemble des acteurs français. Née de la consultation du Gouvernement de François Hollande, sous Axelle Lemaire, "Pour une République Numérique" : nous attendions beaucoup de cette nouvelle entité, même si nous n'étions pas parmi les fondateurs.